Rencontre au sommet

BouquetinMagnifique randonnée faite dans les Alpes, dans la vallée de Chamonix au mois de juillet. Un sentier qui démarre au col des Montets (1 461 m) jusqu’au Lac Blanc (2 352 m) nous fait découvrir la Réserve naturelle des Aiguilles Rouges qui abrite une faune et une flore très riches. On peut apercevoir un nombre incroyable de bouquetins. Peu farouches, on peut les approcher et les observer de vraiment très près ! Les marmottes, elles, jouent à cache-cache.

Le panorama est absolument incroyable puisque d’un côté, on voit les Aiguilles Rouges qui nous dominent, et de l’autre côté de la vallée, on a une vue sur le massif du Mont Blanc avec bien entendu les différents glaciers (le glacier des Bossons,…) et le sommet du Mont Blanc.

Lors de cette randonnée, j’ai fait 150 photos de bouquetins, de tous les âges, de toutes les tailles. Certains avaient des cornes impressionnantes. Pas besoin d’avoir un téléobjectif pour faire le portrait de ces animaux, si cela peut donner une idée aux photographes, la photo ci-dessus a été prise au 105 mm. Autant dire que j’étais à quelques mètres de ce bouquetin. L’hiver ayant été long, il restait encore de la neige à 2 300 m d’altitude et certains rares bouquetins avaient encore une partie de leur pelage d’hiver, comme celui-ci chez lequel il reste encore quelques traces.

La sieste du chat

La sieste du chat

Shiqiao, un petit village de Chine d’une tranquillité incroyable.

Pendant que Madame égrène un épi de maïs, le chat lui se la coule douce…
Que fait donc ce ballon de foot ici ? Le chat se repose-t-il à la suite d’un match éprouvant ?

 

La traversée

Traversée

Dernier réglage du moteur avant la traversée.
Au milieu de la rivière, l’eau est montée jusqu’au plancher de ce taxi de campagne. Encore quelques centimètres de plus et les passagers auraient eu les pieds dans l’eau. Mais le chauffeur avait sans doute bien calculé sa trajectoire.
Cette photo a été prise au Laos, près du village de Vang Vieng, un endroit magnifique avec ses rizières, sa végétation et ses formations karstiques qui dessinent de beaux pitons rocheux entre lesquels sinuent des cours d’eau.
J’ai choisi d’appliquer un traitement sépia à cette image, ce qui me semble plus approprié pour traduire l’ambiance du moment et pour évoquer un côté « aventure » dans la forêt laotienne.

Le jaune vous va si bien

Macrophotographie

Voici un syrphe mâle (ses yeux se rejoignent, ce qui n’est pas le cas chez une femelle). Le soleil se reflète sur son thorax. La famille des sirphidés comprend trois sous-familles dans lesquelles il y a 200 genres soit environ 5000 espèces… Je pencherais tout de même pour un syrphe des groseilliers, mais je suis photographe et pas entomologiste. J’ai lu dans un livre que les syrphes font du vol stationnaire en battant des ailes 300 fois par seconde !

L’avantage d’un jardin en friche est que celui-ci attire de nombreux insectes. Pas besoin d’aller loin pour faire un peu de macrophotographie, il suffit de faire quelques pas.
Cette image est en fait plutôt de la proxyphotographie et non pas de la macrophotographie car même si elle a été prise avec un objectif macro, elle n’atteint pas le rapport 1:1.

Faire de la proxyphoto à proximité de son domicile, quel confort !

Attention, mares brûlantes.

Volcan Perahu

Volcan Tangkuban Perahu sur l’île de Java en Indonésie. Sa dernière éruption remonte à 1969.
Ce volcan situé à 2076 m d’altitude comporte un immense cratère (le Kawah Ratu), accompagné de plusieurs cratères secondaires.
La photo a été prise dans l’un de ceux-là, le Kawah Domas, un cratère criblé de mares de boue en ébullition d’où émanent des vapeurs sulfureuses. Attention où vous mettez les pieds !

Air toxique, boue brûlante… une expérience visuelle et olfactive dans une ambiance de début ou de fin du monde.