Pris dans la glace.
Le stylo d’un écrivain en panne d’inspiration ?
Pris dans un glaçon.
Sur une page blanche.
Au bout de la mine, une minuscule bulle d’air.
Le glaçon fond doucement.
Retour probable de l’oxygène.
Le bol d’air, c’est pour bientôt.
L’écrivain pourra à nouveau respirer, les mots reviendront.
Il pourra à nouveau faire couler de l’encre.
Et je souffle aussi, ce petit texte ne sera pas complètement givré.