Dernières lueurs du jour et premières lumières de nuit.
Les lampadaires éclairent timidement la façade de cette maison blésoise.
Un volet encore légèrement entrouvert témoigne du lent basculement de la journée vers la soirée.
Calme et sérénité dans la ville.
Sensation d’apaisement.
Repos mérité pour toutes et tous.
Mais tiens, cette image m’évoque une peinture de Magritte de sa série « L’Empire des lumières » (voir la peinture).
Je me dépêche de terminer ce billet avant que moi aussi je ne bascule dans un monde cotonneux et obscur. Mes paupières sont lourdes et mes yeux ne perçoivent bientôt plus que les lueurs des lampadaires, comme le dernier signe d’une veilleuse.